TransVerse par LorFab

 
 - Chapitre 1 : Roc Amour - 
 
IL faisait chaud, très chaud en ce mois d’Aout sous le soleil du midi. Johanna malgré un large chapeau de style Capeline protégeant sa tête transpirait à grosses gouttes. Elle avait beau n’être vêtue que d’un chemisier léger et d’une jupette courte, elle avait l’impression d’être un Garry Grant légionnaire  traversant le Sahara sous un soleil de plomb. Le fait est que depuis son arrivée à la gare de Bandol elle trainait derrière elle cette satanée valise à roulette qui lui allongeait au fur et à mesure du temps son bras gauche endolorit.
Après avoir longé la route de Bandol en direction de Sanary S/Mer, elle avait enfin pris cette petite route qui menait au camping Mogador sur lequel elle avait jeté son dévolue.
Si cela avait été possible, son choix se serait posé sur un hôtel luxueux. Mais au sortir de sa formation de masseuse, étude qu’elle avait dû financer elle mêmes, ses maigres moyens ne lui permettait seulement qu’une semaine de détente, près de la mer et si possible éloignée des plages sur bondées. Ce camping remplissait totalement ses attentes. Mais bon dieu, que cette route était longue.
Un ami lui avait conseillé, non loin du camping, une suite de petite crique auquel on accédait par un chemin non loin de la Plage de Roc Amour. Le nom était plein de promesse……..
Un panneau accroché à un arbre indiqua la direction de l’endroit. Cela redonna du courage à Johanna qui redressant la tête, reparti de plus belle.
Belle, elle savait l’être et surement que son petit fessier bien rond qui balançait la samba sous sa jupette devait encore plus éveiller l’intérêt des mâles qui la croisait. Elle n’en avait cure. Son objectif était de toucher enfin le comptoir de l’accueil du camping, s’inscrire, et s’étaler de tout son long sur une plage.
Alors qu’elle atteignait le saint Graal, une voiture luxueuse décapotable rouge feu, la dépassa en ralentissant. L’homme au volant, d’âge assez mur, peut-être la cinquantaine passée, la regarda ou plutôt fit peser sur elle une impression d’appartenance comme si elle était une brebis égarée qu’un berger venait de retrouver. Johanna fut troublée et faillit rater l’entrée du camping. La voiture s’éloigna dans un nuage de poussière, comme un mirage au loin perdu dans les dunes.
Une fois inscrite et l’emplacement trouvé pour sa petite tente. Johanna planta le décor. 
Comme un toréador, elle joua de piquets et sardines qui vinrent à bout d’un terrain pourtant assez rocailleux.
Sa tente se dressa fièrement sous les yeux admiratifs de campeurs alentours qui en avait profités également pour reluquer sa culotte blanche qui s’offrait à leurs yeux.
Suivant la pose imposée par la besogne, si elle se baissait en avant, c’était ses fesses rondes qui s’offraient ou bien si elle  s’accroupissait, c’était son entre jambe que recherchait les regards lubriques.
Quoi qu’il en soit, ce petit bout de tissus leurs faisait le mêmes effet qu’un chiffon rouge baladé sous le nez d’un taureau.
Délaissant ses voyeurs, Johanna, une serviette sous le bras, s’en alla vers la plage. Suivant les indications de son ami, elle se dirigea vers une petite crête en surplomb de la plage de Roc Amour.
Pas très facile d’accès, la descente vers la mer s’avérera quelque peu difficile. Avec ses lunettes de soleil vintage des années 70, son paréo qui lui couvrait les jambes et ses sandales compensées qui allongeait encore plus sa silhouette fine et élancée, sa tenue n’était pas spécialement adaptée au crapahutage sur un chemin pentu et caillouteux. Mais bon, la tranquillité et surtout la possibilité de s’étendre nue au soleil méritait bien de souffrir un peu.
Enfin sur le bord de mer, Johanna se déplaça le long de la cote à la recherche de l’emplacement qui serait le plus confortable à sa détente. La tâche fut rude. Ce n’était que escalade, évitement de tomber à l’eau. 
Arrivée à une sorte de petite crique discrète en retrait et qui offrait un plan relativement plane de rocher, Johanna y laissa tomber fièrement sa serviette prenant en somme possession du territoire à la manière d’un Colomb découvrant l’Amérique.
Une fois allongée, d’un regard circulaire, Elle put se rendre compte que personne ne pouvait l’apercevoir si ce n’est éventuellement d’une villa en surplomb de sa petite crique qui, d’ailleurs, y avait un accès maçonné de marches. 
Ainsi rassurée, allongée, Johanna fit sauter son petit haut et  dénoua son paréo l’ouvrant comme une corolle autour d’elle. Aussitôt le soleil se saisit de son bas ventre en une caresse chaude. La réaction de Johanna fut l’offrande aux rayons pénétrant de l’astre, s’épanouissante comme une fleur.
Ses jambes s’écartèrent et son ventre se tendit légèrement. Un soupir d’aise fit se soulever sa poitrine aux seins qui d’un volume petits n’en était pas moins des plus sensibles et qui apprécia en faisant bourgeonner et tendre ses deux tétons roses.
De par son chapeau capeline qui cachait et laissait à l’ombre son visage, Johanna avait un sentiment à la fois d’intimité protectrice du haut de son corps alors que en mêmes temps elle offrait impudiquement son intimité au regard de qui serait passé par là. Cette sensation et la chaleur
le rythme lancinant du flux et reflux de la mer la fit sombrer dans un sommeil profond…………..
 
Du fond de son sommeil, Johanna sentie que son environnement avait changé.
Depuis quand était-elle endormie. Elle n’aurait su le dire mais elle sentie une puis plusieurs mains sur elle. Voulant se redresser, elle ne le pouvait. Une force d’attraction magnétique la laissait collée au sol comme si ses membres ne pouvaient réagir. Son chapeau s’envola lui découvrant deux hommes au-dessus d’elle accroupis et qui caressait son corps doucement avec une sorte d’évidence et de naturel. Aurait-elle voulu resserrer ses jambes qu’elle ne le pouvait, pas plus elle ne pouvait protéger sa poitrine de ses mains.
Un des hommes qui avait commencé à s’occuper de ses tétons en les roulants sous ses doigts, sorti par l’échancrure de son slip de bain son sexe a demi en érection. La vue de cette verge qui penchait comme une trompe coincée entre slip et cuisse fit déglutir avec difficulté Johanna. Son regard était hypnotisé par ce membre. L’homme se rapprocha de son visage. Décalottant son sexe, il le posa sur la bouche de Johanna en faisant pression pendant que de l’autre main, il lui saisit la tête  et poussant viola doucement sa bouche. Johanna absorba  de tout son long cette verge qui se mit à grossir à la chaleur de sa bouche.
Tout en donnant un rythme lent mais profond à la tête de Johanna, l’homme continuai de l’autre main à torturer avec science ses tétons entre les doigts. Le savait-il mais  cette partie du corps de Johanna était comme une clef magique ou un barillet de coffre-fort. Celui qui en connaissait la combinaison ouvrait invariablement les portes du plaisir de Johanna.
 
 L’autre homme avait décidé de s’en prendre à son intimité. Ecartant largement les cuisses de Johanna, il avait pris possession de son centre névralgique. Ses yeux fixés sur ce sexe, il explorait, touchait, échauffait toute son entre-jambe, ne lui laissaient aucuns répits.
De fait, entre le sexe de l’homme qui faisait honneur de sa bouche et les mains exploratrices de l’autre, Johanna était dans un état d’excitation qui comme à l’accoutumé l’amenait  invariablement à la faire mouiller. L’homme s’en aperçu très bien et il s’amusa à enduire son doigt de ce filet tranS fluide transparent pour le porter à sa bouche afin de se délecter de ce rare nectar.  
Ayant décidé surement que La pauvre Johanna était assez en condition, les deux hommes échangèrent un regard et d’un mêmes mouvement retournèrent Johanna comme une crêpes légère.
Le premier s’installa confortablement assis, les cuisses écartées de part et d’autre de la tête de Johanna et de nouveau profita de sa bouche alors que l’autre, s’installait à cheval sur les jambes serrées de Johanna. Sans nul doute, son objectif, sa cible était claire. Un frisson parcouru le dos de Johanna et ses fesses rondes se couvrirent de chair de poule. 
L’homme écarta de ces mains fortes les fesses musclées offertes et ses yeux se régalèrent du spectacle de la petite rondelle fermée aux 36 plis encore intacts. La virginité de Johanna  n’eut comme effet que de raffermir encore plus, si cela en était besoin, son membre dressé.
Il s’empara de la crème bronzante de Johanna et s’enduisit largement le sexe. Puis, il fit de mêmes avec délicatesse sur la pastille rose de Johanna. Il en profita pour glisser au fur et à mesure un doigt afin d’élargir et d’assouplir le petit puits obscure de la belle.
Aurait-elle pu imaginer en venant à cet endroit ce qu’elle allait subir. Bien que le mot subir devenait à ce moment précis quelque peu excessif car de passive, elle devenait de plus en plus réceptive, accueillante, ondulante. Sa bouche se faisait fourreau autour du membre qui s’enfonçait sans cesse en lent va et viens. Sa langue caressait du mieux possible le gland et ses lèvres essayaient de retenir dans une succion désespérée les sorties inopinées du mandrin violacé.
De l’autre côté de sa personne, ce n’était plus un doigt qui frappait à l’entrée de son intimité mais bien deux doigts qui du fait de ses ondulations incontrôlées avait été absorbés sans difficulté par son anus, attendris autan par les caresses que par la crème lubrificatrice.
A ce moment-là, l’homme  arma son membre en décalottant son gland. Il posa doucement sa flèche à l’entrée de la cible et s’apprêtait à pousser.
Johanna eu, en sentant sa mise en broche imminente, une poussée d’excitation et se mis à pomper follement le membre qui l’embouchait de l’autre côté.  L’effet fut instantané sur le profanateur. Johanna senti encore plus battre et gonfler son membre en elle. L’homme s’enfonçât encore plus, taclant le fond de sa gorge et, tétanisé, serra encore plus la tête de Johanna entre ses mains.  Le jaillissement allait l’inonder de ces jets successifs. Elle sentie une montée de plaisir l’envahir. Elle était prête à recevoir les deux hommes chacun à leurs manières quand celui qui allait se déverser dans sa bouche se mit à aboyer comme un chien…..
« Ouaf…… ouaf ouaf » 
Johanna, interloquée, mis un temps à recomposer sa personne entre rêve et réalité. 
Elle était seule, allongée, les jambes ouvertes et la main sur son sexe offert, dans un état de grand excitation.
Le chien de son rêve était une réalité qui avait fait disparaitre son phantasme préféré.
Elle eut juste le temps de cacher son intimité avec son chapeau car un homme approchait de loin suivant le chien qui devait surement lui appartenir.
Une main sur son chapeau et l’autre cachant comme elle le pouvait sa poitrine découverte, elle accueilli le promeneur qui au fur et à mesure qu’il s’approchait lui rappelait quelqu’un déjà vue.

Fin du chapitre 1

 

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Ps: Un grand merci à mon auteur intime personnel de m'avoir écrit cette histoire. Je tiens à le remercier tout particulièrement pour ce petit chef-d'oeuvre, dont il peut être fier.


Par Mlle Johanna
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