Terriblement excité j'étais de retour le lendemain soir, mais plutôt que de m'installer en terrasse je décidai d'aller m’asseoir sur la plage, je fumais tranquillement ma cigarette en espérant que ma belle se montrerait.

"La petite bière hier, la clope aujourd'hui, mais dites moi vous avez tous les vices !!!!!"

Je me retournai vivement, elle était là derrière moi, un beau petit jean taille basse assortis d'un petit haut blanc laissant son nombril découvert, ses lèvres étaient magnifiquement mises en valeur grâce à un joli rouge vif.

Je me levai immédiatement et lui proposai de boire un verre en terrasse histoire de faire plus ample connaissance.

"Vous ne préféreriez pas marcher le long de la plage ? dit-elle"

"Tout ce que vous voudrez du moment que je suis avec vous "

Ainsi nous nous dirigions vers le bord de l'eau en discutant, plus le temps passait et plus j'avais envie de son contact, malgré ma timidité j'osais lui prendre la main tout en parlant, à mon grand plaisir elle se laissa faire et me fit un grand sourire, elle semblait apprécier, j'étais aux anges.

Petit à petit nous nous sommes retrouvés isolés et hors des lumières de la promenade.

"On peut s’asseoir pour discuter ? dis-je"

"Oui bien sûr, d'ailleurs il faut que je sois honnête avec toi !"

"Honnête ??"

"Oui, je vois bien que tu es attiré par moi, mais je dois te prévenir que je ne suis pas le genre de fille que tu dois avoir l'habitude de fréquenter"

Devant mon air étonné (voir idiot!!) elle me prit la main et la guida doucement entre ses cuisses.

Je découvrais alors que ma Belle possédait de beaux attributs que bon nombre de garçons (et moi le 1er !!) envierait.

Que s'est-il passé ? je ne sais, ma main était posée sur une verge, mes yeux admiraient une femme magnifique, sans réfléchir j'approchais mes lèvres des siennes à la recherche d'un baiser.

Nos bouches se rencontrèrent, nos langues se caressèrent, plus rien ne comptait pour moi que cette jeune femme dans mes bras, doucement je commençais à caresser le joli trésor qui se cachait entre ses cuisses.

Récit par Jean-Pierre